Les questions 131 (Principales règles du « Ma’assèr »)
(Pour y accéder cliquez ici)
et 132 (Le Ma’assèr se déduit-il du revenu brut ?)
(Pour y accéder cliquez ici)
répondent pratiquement à toutes vos questions.
Vous auriez pu trouver tout cela dans la rubrique « Tsédaka »
Par ailleurs vous pouvez donner le Ma’assèr de la manière que vous désirez (virement, chèque, espèce) dans la monnaie du pays de préférence, mais aussi avec une autre valeur qui a cours dans le pays.
Vous pouvez donner le Ma’assèr en fonction de la fréquence de vos rentrées (quotidiennes, hebdomadaires, mensuelles), à tout moment (sauf évidemment Chabbat et Yom Tov).
Celui qui désire s’acquitter dans les règles de la Mitsva du Ma’assèr a l’obligation de tenir un compte précis des points suivants :
L’ensemble de ses gains, les dépenses en rapport avec ses activités (éventuellement les pertes), les sommes données à la Tsédaka. (1)
Vous devez, par ailleurs, faire régulièrement, à la date que vous aurez vous même fixée (une ou deux fois par an et de préférence la veille de Roch Hachana), un bilan des comptes du Ma’assèr. (2)
C’est à dire, qu’après avoir déduit les dépenses (qui peuvent être déduites dans le cadre des activités), et avoir pris en compte la somme totale donnée à la Tsédaka pour cette période, on complètera si nécessaire pour arriver à dix ou vingt pour cent des gains nets de la dite période. (3)
Kol Touv
1) ‘Hovote Yaïr chap.224 ; Noda’ Bihouda Kama Yoré Dé’a (rapporté par le Pit’hé Téchouva chap. 249 alinéa 1).
2) Knéssèt Haguédola chap 249 par.1 ; Choute Avkate Rokhèl chap.3 d’après qui on peut attendre la fin de l’année; ‘Aroukh Hachoul’hane chap. 249 par. 7 qui précise que les gains doivent être calculés de Roch Hachana à Roch Hachana ; Choute Chévèt Halévi tome 5 chap.133.
3) Ahavate ‘Héssèd tome 2 chap. 18 par. 2 ; ‘Aroukh Hachoul’hane chap. 249 par. 7